{"id":3118,"date":"2016-06-23T14:06:15","date_gmt":"2016-06-23T13:06:15","guid":{"rendered":"https:\/\/paroissereformeevaldetravers.wordpress.com\/?p=3118"},"modified":"2016-06-23T14:06:15","modified_gmt":"2016-06-23T13:06:15","slug":"culte-avec-le-groupe-detude-biblique-le-19-juin-a-saint-sulpice-sur-la-parabole-un-pere-avait-deux-fils","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/www.eren.ch\/vdt\/culte-avec-le-groupe-detude-biblique-le-19-juin-a-saint-sulpice-sur-la-parabole-un-pere-avait-deux-fils\/","title":{"rendered":"Culte avec le groupe d’\u00e9tude biblique, le 19 juin \u00e0 Saint-Sulpice – Sur la parabole \u00ab\u00a0Un p\u00e8re avait deux fils\u00a0\u00bb"},"content":{"rendered":"
<\/p>\n
Introduction<\/u> Anna \u2013 Andr\u00e9 \u2013 Francis \u2013 Ren\u00e9\u00a0; narratrice\u00a0: s\u0153ur Odette<\/em><\/p>\n Madeleine: \u00a0Eh! Valentin…<\/p>\n Valentin: Que veux-tu, Madeleine\u00a0?<\/p>\n Madeleine: As-tu entendu dire , chez Bernard-Louis?<\/p>\n Valentin:\u00a0 Je n’en sais rien, qu’est-ce qui se raconte encore…\u00a0? Je vais demander chez mon ami Paul. \u00a0\u00a0\u00a0 Paul, as-tu entendu dire quel drame se passe chez Bernard- Louis?<\/p>\n Paul: \u00a0\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0 J’ai vaguement entendu quelque chose de bizarre. Mais tu sais, la Madeleine , c’est une pipelette\u00a0! Je vais me renseigner aupr\u00e8s de mon ami Samuel, tu sais le sage de la montagne… \u00a0Salut Samuel, peut-\u00eatre que toi, tu sais quelque chose. On raconte que\u00a0Louis a pris la cl\u00e9 des champs avec sa part de butin\u00a0!<\/p>\n Samuel: Oui, c\u2019est est vrai, je viens de rencontrer le p\u00e8re, Bernard-Louis. Il est tout \u00ab\u00a0d\u00e9confitur\u00e9\u00a0\u00bb. Une voix venant d\u2019ailleurs peut nous transmettre le vrai r\u00e9cit… qu’en\u00a0pensez-vous?<\/p>\n Les quatre: \u00a0 oui! comme \u00e7a on sera au clair.<\/p>\n \u00a0Lecture biblique<\/u>: \u00a0\u00a0\u00a0 Luc 15,11-32\u00a0 et\u00a0Pr\u00e9dication\u00a0<\/u> forment un tout<\/p>\n \u00a0– Narratrice – s\u0153ur Odette\u00a0: J\u00e9sus dit encore\u00a0: Un homme, Bernard-Louis avait deux fils. Le plus jeune, Louis, dit \u00e0 son p\u00e8re\u00a0: \u00ab\u00a0P\u00e8re, donne-moi la part de fortune qui doit me revenir.\u00a0\u00bb Bernard-Louis partagea son bien entre eux. <\/em><\/p>\n – Valentin le voisin \u2013 Ren\u00e9\u00a0: <\/em>\u00ab\u00a0Mais qu\u2019est-ce qui se passe dans cette famille\u00a0? C\u2019est quoi cette vente, tout ce branle-bas de combat, comme s\u2019ils allaient arr\u00eater le domaine\u00a0? Le p\u00e8re n\u2019est pas \u00e0 l\u2019article de la mort, ou quoi\u00a0? D\u2019autant plus que c\u2019est pas des petits paysans\u00a0! Il faut que je me renseigne \u00e0 la laiterie, c\u2019est tr\u00e8s louche, tout \u00e7a\u00a0!\u00a0\u00bb<\/p>\n – Madeleine la voisine \u2013 Anna\u00a0: <\/em>\u00ab\u00a0 Je ne connais pas ce fils cadet, Louis, mais je connais le sentiment que mes parents ne me comprennent pas. Je n\u2019avais pas envie d\u2019accepter une profession comme institutrice pour enseigner les enfants \u00e0 coudre et \u00e0 tricoter, ou travailler dans le bureau de l\u2019entreprise de mon p\u00e8re. C\u2019\u00e9tait mon fr\u00e8re cadet qui \u00e9tait d\u00e9sign\u00e9 pour se former \u00e0 succ\u00e9der \u00e0 notre papa dans l\u2019entreprise. Moi, j\u2019\u00e9tais int\u00e9ress\u00e9e \u00e0 \u00e9tudier la musique ou \u00e0 comprendre le fonctionnement secret des choses. Oui, je sais que pas tout le monde pense que des \u00e9tudes ont la m\u00eame valeur que de travailler dans une production ou un service. Je suis partie pour apprendre l\u2019anglais et travailler dans un home pour personnes \u00e2g\u00e9es, et c\u2019\u00e9tait une ann\u00e9e tr\u00e8s heureuse pour moi. Je vivais une libert\u00e9 et j\u2019apprenais les r\u00e8gles de la vie dans ce pays \u00e9trange. Combien je comprends Louis, qui est parti\u00a0!\u00a0\u00bb<\/p>\n \u00a0\u00a0\u00a0 Peu de jours apr\u00e8s, Louis convertit en argent tout ce qu’il avait et partit pour un pays lointain o\u00f9 il dilapida sa fortune en vivant dans la d\u00e9bauche. Lorsqu’il eut tout d\u00e9pens\u00e9, une grande famine survint dans ce pays, et il commen\u00e7a \u00e0 manquer de tout. Il se mit au service d’un des citoyens de ce pays, qui l’envoya dans ses champs pour y faire pa\u00eetre les cochons. Il aurait bien d\u00e9sir\u00e9 se rassasier des caroubes que mangeaient les cochons, mais personne ne lui en donnait. \u00a0\u00a0\u00a0\u00a0 Rentr\u00e9 en lui-m\u00eame, il se dit\u00a0: \u00ab\u00a0Combien d’employ\u00e9s, chez mon p\u00e8re, ont du pain de reste, alors que moi, ici, je meurs de faim\u00a0? Je vais partir, j’irai chez mon p\u00e8re et je lui dirai\u00a0: \u201cP\u00e8re, j’ai p\u00e9ch\u00e9 contre le ciel et envers toi\u00a0; je ne suis plus digne d’\u00eatre appel\u00e9 ton fils\u00a0; traite-moi comme l’un de tes employ\u00e9s.\u201d\u00a0\u00a0\u00bb <\/em><\/p>\n – Oncle Paul \u2013 Francis\u00a0: <\/em>\u00ab\u00a0Je suis aussi \u00e9leveur, comme Bernard-Louis. \u00c7a ne m\u2019\u00e9tonne pas de ce qui est arriv\u00e9 \u00e0 ce gamin. Trop d\u2019amour rend la jeunesse exigeante et inconsciente. \u00a0\u00a0\u00a0\u00a0 R\u00e9sultat des courses\u00a0: un grand g\u00e2chis de la fortune\u2026 et une vie foutue dans les conditions qu\u2019on sait. Ah\u00a0! si on pouvait revenir en arri\u00e8re\u2026 mais voil\u00e0\u2026\u00a0\u00bb<\/p>\n – Samuel le fromager \u2013 Andr\u00e9\u00a0: <\/em>\u00ab\u00a0On voit bien que Paul connait ses neveux, et surtout son fr\u00e8re qui doit dig\u00e9rer ce cr\u00e8ve-c\u0153ur. Pour moi, acheteur de lait, il me semblait bien qu\u2019il y avait anguille sous roche. Un peu moins disciplin\u00e9 avec l\u2019heure du coulage et un lait plus sensible \u00e0 travailler. Ah\u00a0! ces jeunes qui ont tout, jamais satisfaits de leur sort, quels \u00e9go\u00efstes\u00a0! Enfin, c\u2019est la vie\u2026 \u2026 \u00e9lever des enfants, c\u2019est comme fabriquer du fromage\u00a0: m\u00eame soin, m\u00eame attention pour tous. Et voil\u00e0 une pi\u00e8ce qui est fichue. Sans en conna\u00eetre les vraies raisons\u2026 L\u00e0, c\u2019est quelques francs de perdus\u2026 mais un ado qui d\u00e9raille, quelle mis\u00e8re. Ce n\u2019est pas la bourse qui en prend un coup, c\u2019est les tripes\u00a0! Je connais Bernard-Louis, il a le cuir solide, il peut cacher sa peine. Mais la maman\u2026 c\u2019est pour \u00e7a qu\u2019on ne la voit plus\u00a0: elle a honte comme si c\u2019\u00e9tait de sa faute. Quand Louis se sera cass\u00e9 les dents sur la duret\u00e9 du monde, il reviendra s\u00fbrement pleurer \u00e0 la maison\u2026 Mais dans quel \u00e9tat\u00a0! et quels d\u00e9g\u00e2ts dans l\u2019\u00e9quilibre familial\u00a0! Ah\u00a0! si ces jeunes \u00e9tourdis connaissaient les cons\u00e9quences de leurs actes, ils mettraient du plomb dans leur cervelle. Pour moi, j\u2019ai la chance que le fils Bernard soit le pilier de l\u2019exploitation, il va rapidement assumer sa place. \u00a0\u00a0\u00a0 Donc, pour ma production de fromages, pas de souci. Mais c\u2019est malheureux pour cette famille.\u00a0\u00bb<\/p>\n \u00a0\u00a0\u00a0 Il partit pour rentrer chez son p\u00e8re. Comme il \u00e9tait encore loin, son p\u00e8re le vit et fut \u00e9mu\u00a0; il courut se jeter \u00e0 son cou et l’embrassa. Louis lui dit\u00a0: \u00ab\u00a0P\u00e8re, j’ai p\u00e9ch\u00e9 contre le ciel et envers toi, je ne suis plus digne d’\u00eatre appel\u00e9 ton fils.\u00a0\u00bb \u00a0 Mais le p\u00e8re dit \u00e0 ses esclaves\u00a0: \u00ab\u00a0Apportez vite la plus belle robe et mettez-la-lui\u00a0; mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds. Amenez le veau engraiss\u00e9 et abattez-le. Mangeons, faisons la f\u00eate, car mon fils Louis que voici \u00e9tait mort, et il a repris vie\u00a0; il \u00e9tait perdu, et il a \u00e9t\u00e9 retrouv\u00e9\u00a0!\u00a0\u00bb Et ils commenc\u00e8rent \u00e0 faire la f\u00eate. <\/em><\/p>\n – Valentin le voisin \u2013 Ren\u00e9\u00a0: <\/em>\u00ab\u00a0Vous entendez ce chahut\u00a0? C\u2019est la f\u00eate, et une bien grande en plus\u00a0! Tout \u00e7a pour f\u00eater le retour du cadet qui avait quitt\u00e9 sa famille dans des conditions intol\u00e9rables chez nous\u00a0! Et mon voisin, presque un contemporain, que je croyais sens\u00e9, vous parlez\u00a0! Non seulement il a couru vers son vaurien de cadet – chez nous, y\u2019a que les esclaves qui courent\u00a0! Par les chaleurs qu\u2019il fait, les gens respectables, nous, on marche pos\u00e9ment\u00a0! – mais ensuite, \u00e0 ce qu\u2019on a racont\u00e9 \u00e0 la laiterie, il l\u2019a m\u00eame pas grond\u00e9, son chenapan, il lui a rendu sa place de fils, sans condition\u00a0! Il aurait pourtant m\u00e9rit\u00e9 qu\u2019on lui remonte sacr\u00e9ment les bretelles, non\u00a0?! M\u00eame le jeune s\u2019y attendait, \u00e0 une \u00ab\u00a0branl\u00e9e\u00a0\u00bb bien m\u00e9rit\u00e9e\u00a0! Et il a \u00e9t\u00e9 surpris par cet accueil. Et maintenant, la f\u00eate\u00a0! Ils vivent sur la t\u00eate, ces voisins, je n\u2019aurais pas pens\u00e9\u00a0! \u00c7a va jaser sec tout \u00e0 l\u2019heure, \u00e0 la laiterie\u00a0!\u00a0\u00bb<\/p>\n – Madeleine la voisine \u2013 Anna\u00a0: <\/em>\u00ab\u00a0J\u2019avais souvent ce sentiment de ne pas avoir r\u00e9ussi avec mon projet de l\u2019exp\u00e9rience de la nouveaut\u00e9, malgr\u00e9 le fait que j\u2019avais acquis un dipl\u00f4me en chimie apr\u00e8s six ans d\u2019\u00e9tudes, un mari que j\u2019appelais \u00ab\u00a0mon prince de Galles\u00a0\u00bb, et mon travail chez Givaudan \u00e0 D\u00fcbendorf. Apr\u00e8s trois ans, nous avons trouv\u00e9 du travail \u00e0 Berne. Mon travail avec les brevets d\u2019invention correspondait mieux \u00e0 mon caract\u00e8re, mais avec mon mari, les difficult\u00e9s grandissaient. Mon r\u00f4le de \u00ab\u00a0belle-m\u00e8re\u00a0\u00bb pour sa fille qui nous avait rejoint \u00e0 l\u2019\u00e2ge de 12 ans et demi n\u2019\u00e9tait pas facile, et la situation familiale devenait insupportable pour moi. Le divorce est venu, mais le chemin dans la d\u00e9tresse continuait. J\u2019\u00e9tais toujours convaincue que c\u2019\u00e9tait possible de sortir de mes probl\u00e8mes. Ce sont les chats, la musique et le travail dans un jardin qui avait \u00e9t\u00e9 n\u00e9glig\u00e9 qui m\u2019ont aid\u00e9. J\u2019ai commenc\u00e9 de jouer de la fl\u00fbte \u00e0 bec dans des cultes le dimanche, et j\u2019ai \u00e9t\u00e9 invit\u00e9 \u00e0 travailler avec un groupe d\u2019enfants qui intervenait dans les cultes en famille dans l\u2019\u00e9glise de la Trinit\u00e9 de Berne. \u00a0\u00a0\u00a0 J\u2019esp\u00e8re que Louis va aussi retrouver son \u00e9quilibre int\u00e9rieur apr\u00e8s cette f\u00eate.\u00a0\u00bb<\/p>\n \u00a0\u00a0\u00a0 Or l\u2019ain\u00e9, Bernard \u00e9tait aux champs. Lorsqu’il revint et s’approcha de la maison, il entendit de la musique et des danses. Il appela un des serviteurs pour lui demander ce qui se passait. Ce dernier lui dit\u00a0: \u00ab\u00a0Ton fr\u00e8re est de retour, et parce qu’il lui a \u00e9t\u00e9 rendu en bonne sant\u00e9, ton p\u00e8re a abattu le veau engraiss\u00e9.\u00a0\u00bb Mais il se mit en col\u00e8re\u00a0; il ne voulait pas entrer. Son p\u00e8re sortit le supplier. Alors il r\u00e9pondit \u00e0 son p\u00e8re\u00a0: \u00ab\u00a0Il y a tant d’ann\u00e9es que je travaille pour toi comme un esclave, jamais je n’ai d\u00e9sob\u00e9i \u00e0 tes commandements, et jamais tu ne m’as donn\u00e9 un chevreau pour que je fasse la f\u00eate avec mes amis\u00a0! Mais quand ton fils que voici est arriv\u00e9, lui qui a d\u00e9vor\u00e9 ton bienavec des prostitu\u00e9es, pour lui tu as abattu le veau engraiss\u00e9\u00a0!\u00a0\u00bb Le p\u00e8re lui dit\u00a0: \u00ab\u00a0Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est \u00e0 moi est \u00e0 toi\u00a0; mais il fallait bien faire la f\u00eate et se r\u00e9jouir, car ton fr\u00e8re que voici \u00e9tait mort, et il a repris vie\u00a0; il \u00e9tait perdu, et il a \u00e9t\u00e9 retrouv\u00e9\u00a0!\u00a0\u00bb<\/em><\/p>\n – Valentin le voisin \u2013 Ren\u00e9\u00a0: <\/em>\u00ab\u00a0Vous voulez que je vous dise\u00a0? Sans m\u00eame en avoir parl\u00e9 \u00e0 la laiterie, moi j\u2019en viens \u00e0 me dire que mon voisin, il est plus que sp\u00e9cial \u2013 moi qui croyais le conna\u00eetre\u00a0! \u00c0 son grand qui fait la t\u00eate rapport au petit qui revient en fanfare alors qu\u2019il a \u00e9t\u00e9 le contraire du bon gamin bosseur et tout, voil\u00e0 que le p\u00e8re se plie en quatre pour tenter de r\u00e9unir ses deux fils\u00a0! L\u00e0 encore, soit c\u2019est un p\u00e8re comme il faut, et il \u00ab\u00a0emm\u00e8ne\u00a0\u00bb le grand \u00e0 la f\u00eate, parce que c\u2019est sa volont\u00e9 qui prime, et pas de discussion\u00a0; soit il comprend la position de son a\u00een\u00e9 et il le laisse tranquille, ruminer dans son coin jusqu\u2019au lendemain, quand tout sera rentr\u00e9 dans l\u2019ordre. \u00a0\u00a0\u00a0\u00a0 Mais bon, rentrer dans l\u2019ordre, on peut pas dire que c\u2019est la devise de cette famille, ou bien\u00a0?!\u00a0\u00bb<\/p>\n – Madeleine la voisine \u2013 Anna\u00a0: <\/em>\u00ab\u00a0 Mon p\u00e8re n\u2019a pas pu nous r\u00e9concilier. Chacun restait dans sa vie choisie, la d\u00e9chirure \u00e9tait visible mais l\u2019origine n\u2019\u00e9tait plus connue. \u00a0\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0\u00a0 Finalement, c\u2019est mon fr\u00e8re qui a d\u00e9cid\u00e9 de f\u00eater. Il a invit\u00e9 beaucoup de personnes de sa parent\u00e9 et des amis. Comme nos parents et fr\u00e8res \u00e9taient d\u00e9j\u00e0 d\u00e9c\u00e9d\u00e9s, j\u2019ai voulu \u00eatre pr\u00e9sente \u00e0 cette f\u00eate. Je savais que mon fr\u00e8re, malade, \u00e9tait \u00e0 l\u2019article de la mort, mais le revoir ainsi a \u00e9t\u00e9 un choc pour moi. C\u2019\u00e9tait pour lui un Adieu \u00e0 tous ses invit\u00e9s, une joie de se revoir et une grande tristesse en m\u00eame temps. C\u2019\u00e9tait une vraie f\u00eate malgr\u00e9 tout.\u00a0\u00bb<\/p>\n Textes du culte<\/a><\/p>\n <\/p>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":" Introduction Anna \u2013 Andr\u00e9 \u2013 Francis \u2013 Ren\u00e9\u00a0; narratrice\u00a0: s\u0153ur Odette Madeleine: \u00a0Eh! Valentin… Valentin: Que veux-tu, Madeleine\u00a0? Madeleine: As-tu entendu dire , chez Bernard-Louis? Valentin:\u00a0 Je n’en sais rien, qu’est-ce qui se raconte encore…\u00a0? Je vais demander chez mon ami Paul. \u00a0\u00a0\u00a0 Paul, as-tu entendu dire quel drame se passe chez Bernard- Louis? Paul: … Continuer la lecture de « Culte avec le groupe d’\u00e9tude biblique, le 19 juin \u00e0 Saint-Sulpice – Sur la parabole \u00ab\u00a0Un p\u00e8re avait deux fils\u00a0\u00bb »<\/span><\/a><\/p>\n","protected":false},"author":62,"featured_media":0,"comment_status":"open","ping_status":"open","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":{"footnotes":""},"categories":[14,32],"tags":[],"class_list":["post-3118","post","type-post","status-publish","format-standard","hentry","category-bible","category-predications"],"yoast_head":"\n